LadiffĂ©rence dans les photos avant et aprĂšs sont 15 kilos de graisse. Comme vous pouvez le voir sur les photos, la partie du corps oĂč la perte de poids est plus notable sont les cuisses, hanches, bras et le ventre. Sont toujours les zones les plus sensible Ă  l’accumulation de cellulite. 171 Faubourg des Jardins. 67150 HINDISHEIM. (Ă  15 minutes de Strasbourg, avant Erstein) TĂ©l. 0033 (0)6 76 66 88 24. Email : chris@dutempspourmoi.fr. Siret : 509 891 651 00010. Infos pratiques : Les serviettes sont fournies. PossibilitĂ© de prendre une douche avant ou aprĂšs le massage, Ă  prĂ©ciser lors de la prise de RDV. En 2014, je suis trĂšs fatiguĂ©e en obĂ©sitĂ© avec 97Kgs, dĂ©primĂ©e sans Ă©nergie mais avec une envie de changer - Alors en surfant sur le net car intĂ©ressĂ©e par l’hypnose, je cherche un thĂ©rapeute qui pose l’anneau gastrique virtuel dans ma rĂ©gion. Je dĂ©couvre FrĂ©dĂ©rique Chataigner et lis avec intĂ©rĂȘt son parcours. Je dĂ©cide cash. 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On estime qu’un homme sur deux et une femme sur trois seront atteints d’un cancer dans leur vie.. Dans cet article, je vous livre un condensĂ© des derniĂšres publications sur l’approche mĂ©tabolique du cancer et des recherches scientifiques. Vous trouverez, en fin d’article, ma bibliographie et toutes les Ă©tudes concernant cet article. J’ai pu constater que les recherches dans ce domaine sont passionnantes et incroyables. Toutes les approches dont nous allons parler dans cet article sont documentĂ©es scientifiquement. Je pense que ces approches plus naturelles sont dĂ©jĂ  l’avenir de cette terrible maladie. On ne peut espĂ©rer guĂ©rir le d’un cancer seulement par des mĂ©dicaments ou des manipulations gĂ©nĂ©tiques. En dernier lieu nous avons essayĂ© de fournir des explications simples et claires et surtout des recommandations et des stratĂ©gies pratiques afin que les intĂ©ressĂ©s puissent concrĂštement appliquer ce qui est Ă©crit. J’ai fractionnĂ© l’article en 6 parties afin de le rendre plus facile Ă  lire, mais il s’agit bien d’une publication qui doit ĂȘtre lu entiĂšrement. > Partie 1 DiĂšte anti-cancer, jeĂ»ne et dĂ©toxification Partie 2 Soutenir son microbiote et renforcer son immunitĂ© Partie 3 Calmer son inflammation et son stress oxydatif Partie 4 Eviter la propagation du cancer et Ă©quilibrer ces hormones Partie 5 GĂ©rer son stress et transformer ces Ă©motions nĂ©gatives en forces positives Partie 6. Recommandations pratiques et exemple de prise en charge Introduction Le cancer est une maladie insidieuse, intelligente qui est capable de s’adapter constamment, dĂ©jouant souvent la plupart des stratĂ©gies de l’homme pour le combattre. En 2015, plus de 1,5 million de nouveaux cas de cancer ont Ă©tĂ© diagnostiquĂ©s, dont un tiers sont dĂ©cĂ©dĂ©s. L’homme, depuis bientĂŽt 75 ans, a dĂ©clarĂ© la guerre Ă  cette maladie en dĂ©veloppant des stratĂ©gies de plus en plus ciblĂ©es, agressives et chĂšres. En effet, en 2014 seulement, le marchĂ© global des mĂ©dicaments anti-cancers s’élĂšve Ă  100 milliards de dollars. MalgrĂ© cela, on assiste Ă  une augmentation progressive de la plupart des cancers. Par exemple, de 1973 Ă  1991, le cancer de la prostate a augmentĂ© de 126 %, ce qui semble indiquer que nous sommes en train de perdre la guerre contre cette maladie, probablement en raison de nos modes de vie et de notre environnement de plus en plus polluĂ©. Les traitements classiques anti-cancers sont la chirurgie, la chimiothĂ©rapie et la radiothĂ©rapie. Il faut en effet dĂ©truire les cellules cancĂ©reuses en coupant chirurgie, brĂ»lant radiothĂ©rapie ou en empoisonnant chimiothĂ©rapie. Ces stratĂ©gies sont souvent nĂ©cessaires pour rĂ©duire la masse des cellules cancĂ©reuses. Le problĂšme, c’est que la chimiothĂ©rapie et la radiothĂ©rapie s’attaquent Ă©galement aux cellules saines et ces traitements sont eux-mĂȘmes carcinogĂšnes, ce qui veut dire qu’elles favorisent le cancer. En effet, ces procĂ©dures affaiblissent notre systĂšme immunitaire, crĂ©ent des dommages Ă  notre ADN, abĂźment notre Ă©cosystĂšme intestinal, causent de l’inflammation et du stress oxydatif. Toutes ces atteintes vont promouvoir des perturbations favorisant la survenue ou la rĂ©cidive du cancer. L’intention de cet article n’est pas de critiquer les traitements anti-cancers actuels qui permettent souvent de prolonger la vie d’innombrables personnes, et quelquefois de les guĂ©rir. Il s’agit plutĂŽt de montrer qu’il existe des approches complĂ©mentaires non toxiques au modĂšle oncologique classique qui peuvent rĂ©ellement amĂ©liorer les rĂ©sultats des traitements agressifs, rĂ©duire leurs effets toxiques et empĂȘcher la rĂ©cidive du cancer. Mais pourquoi les oncologues ne croient pas Ă  la nutrition fonctionnelle ? Quand une personne reçoit le diagnostic de cancer, il demande souvent Ă  son oncologue, qu’est-ce que je peux faire ou manger pour soutenir mon Ă©tat de santĂ© ? ». Voici, la rĂ©ponse la plus frĂ©quente ce n’est pas important, manger ce que vous voulez, mais surtout ne perdez pas de poids ». Ce genre de rĂ©ponse peut ĂȘtre expliquĂ©e par un manque de connaissances sur les dĂ©couvertes rĂ©centes en mĂ©decine nutritionnelle et fonctionnelle. MĂȘme en diĂ©tĂ©tique classique, les recommandations nutritionnelles dans le cancer sont souvent basiques. Certaines personnes recommandent mĂȘme le quick and easy » incluant snacks rapides, ice-cream, biscuits, cake, etc. Et pourtant, une Ă©tude majeure en 2016 de l’universitĂ© du Texas MD Anderson Cancer Center conclut que les diĂštes riches en sucres sont un facteur de risque majeur dans certains cancers, particuliĂšrement dans le cancer du sein. Plusieurs autres Ă©tudes abondent Ă©galement dans ce sens 1-3. Cette incapacitĂ© des mĂ©decins oncologues Ă  s’intĂ©resser Ă  la nutrition peut Ă©ventuellement ĂȘtre expliquĂ©e du fait que pendant longtemps, la mĂ©decine s’est concentrĂ©e sur la thĂ©orie gĂ©nĂ©tique du cancer, qui expliquait que le cancer Ă©tait dĂ» Ă  une mutation de certains gĂšnes oncogĂšnes provoquant la transformation cancĂ©reuse de certaines cellules. Toutefois, les Ă©tudes ont montrĂ© que seulement 5 Ă  10 % des cancers sont liĂ©s Ă  des dommages de notre ADN. Les 90 % restant sont en relation avec notre alimentation, nos mauvaises habitudes de vie alcool, tabac, sĂ©dentaritĂ© et Ă  notre environnement pesticides, polluants de l’air, etc.. Le cancer n’est pas une maladie gĂ©nĂ©tique, mais est la consĂ©quence de perturbations Ă©pigĂ©nĂ©tiques et mĂ©taboliques en relation avec notre façon de manger, nos modes de vie et notre environnement. On peut comprendre que notre gĂ©nome ancestral puisse s’adapter difficilement aux changements rĂ©cents de notre sociĂ©tĂ© tels que junk food, antibiotiques, colorants artificiels, OMG, pesticides, mĂ©dicaments, conservant artificiels, aliments raffinĂ©s, stress chronique, lumiĂšre artificielle, produits chimiques, etc. Si nous comprenons que le cancer est influencĂ© par tous ces facteurs, alors il est possible qu’en changeant notre façon de manger, de penser, ou de s’exposer Ă  un environnement nĂ©faste, il soit possible d’amĂ©liorer le dĂ©cours de cette terrible maladie. C’est ce que nous allons voir dans cet article. Alimentation et diĂšte cĂ©togĂšne Depuis de nombreuses annĂ©es,des chercheurs ont constatĂ© une relation Ă©troite entre le sucre et le cancer. DĂ©jĂ  dans les annĂ©es 30, le prix Nobel Otto Warburg retenait qu’une alimentation riche en sucres pouvait prĂ©disposer au cancer. Warburg a constatĂ© que les cellules cancĂ©reuses se nourrissent presque essentiellement de sucre avec la capacitĂ© de le transformer rapidement en Ă©nergie par fermentation anaĂ©robique. On parle de l’effet Warburg. Les cellules cancĂ©reuses sont capables de reprogrammer leur mĂ©tabolisme Ă©nergĂ©tique permettant d’ingĂ©rer le sucre 50 fois plus vite que des cellules saines, ce qui les aident Ă  se multiplier et se diffuser rapidement. Lors d’une alimentation riche en glucides, il y a une stimulation Ă©galement de la production d’insuline qui une action inflammatoire, gĂ©nĂ©rant Ă©galement des facteurs de croissance. L’excĂšs de sucre favorise un Ă©tat d’insulino-rĂ©sistance et d’hyperglycĂ©mie. Lors d’un Ă©tat d’hyperglycĂ©mie, la croissance des cellules tumorales est augmentĂ©e avec inhibition de l’apoptose, ainsi qu’une plus grande rĂ©sistance des cellules cancĂ©reuses Ă  la chimiothĂ©rapie et Ă  la radiothĂ©rapie 4. Ces constats sont inquiĂ©tants et ont amenĂ© certains nutritionnistes Ă  proposer des diĂštes pauvres en glucides, voir des diĂštes cĂ©togĂšnes afin de limiter le dĂ©veloppement du cancer. C’est l’approche mĂ©tabolique du cancer. La diĂšte cĂ©togĂšne Probablement, la rĂ©duction des apports de sucres ou d’aliments riches en sucres sodas, pĂątes, pizzas, pains, etc. est l’étape diĂ©tĂ©tique la plus importante afin de prĂ©venir ou de prendre en charge un cancer. La diĂšte cĂ©togĂšne n’est toutefois pas un traitement unique du cancer en soi-mĂȘme, car il y a de nombreux autres facteurs qui participent au processus cancĂ©reux, mais elle aide Ă©normĂ©ment dans la prise en charge globale du cancer. Quand notre corps est privĂ© de glucides, dans un premier temps, le foie va utiliser les rĂ©serves de glycogĂšne stockage du sucre dans le foie et les muscles qui durent un Ă  deux jours maximum. Une fois ces rĂ©serves Ă©puisĂ©es, le foie peut fabriquer des corps cĂ©toniques par oxydation des graisses de rĂ©serve. Ces substrats vont ĂȘtre utilisĂ©s par notre cerveau et nos organes pour ĂȘtre transformĂ©s par nos mitochondries en Ă©nergie. Notre chance, c’est que les cellules saines ont une flexibilitĂ© mĂ©tabolique leur permettant de passer du glucose aux cĂ©tones pour produire de l’énergie ATP, alors que les cellules cancĂ©reuses n’ont pas cette possibilitĂ©. Ce qui fait que lorsqu’une personne est en cĂ©tose, cela coupe l’apport principal de carburant aux cellules cancĂ©reuses. L’état de cĂ©tose permet Ă©galement de rĂ©duire l’angiogenĂšse formation de nouveaux vaisseaux utilisĂ©s par la tumeur pour diffuser, aide Ă  restaurer l’apoptose suicide des cellules malades des cellules cancĂ©reuses, rĂ©duit la taille de la tumeur et les niveaux d’insuline et d’IGF-1. Ces derniĂšres annĂ©es, de nombreuses Ă©tudes ont confirmĂ© l’intĂ©rĂȘt de cette diĂšte dans la prise en charge du cancer 5-8. Il n’est pas facile d’atteindre un Ă©tat mĂ©tabolique oĂč votre corps utilise des corps cĂ©toniques comme carburant Ă  la place du glucose. Pour cela, il faut que 70 Ă  75 % des calories proviennent de bonnes graisses anti-inflammatoires, 20 Ă  25 % de protĂ©ines de bonne qualitĂ© et 5 Ă  10 % de carbohydrates provenant de lĂ©gumes denses en phytonutriments. Il faut faire attention de manger des protĂ©ines de façon modĂ©rĂ©e, car plus de 50 % de tout excĂšs de protĂ©ines est transformĂ© en glucose par le corps nĂ©oglucogenĂšse avec augmentation des taux d’insuline. Ce sont toutefois les glucides qui ont l’impact le plus important sur le niveau de glucose dans le sang. Il faut manger surtout des vĂ©gĂ©taux faibles en glucide tels que des salades, des crucifĂšres brocoli, chou, etc., des champignons, des Ă©pinards, des oignons, etc. Certaines personnes atteignent la cĂ©tose facilement environ 30 gr de glucides par jour, d’autres doivent rĂ©duire Ă  20 gr de glucides par jour. Plusieurs livres sur la diĂšte cĂ©togĂšne sont disponibles en librairie ou sur permettant de mettre en place cette diĂšte avec de nombreuses recettes. Toutefois, un suivi par une nutritionniste formĂ©e est souvent conseillĂ©, afin de soutenir le processus de cĂ©tose et Ă©viter les piĂšges de cette diĂšte. L’importance de la dĂ©toxification des substances carcinogĂšnes Nous baignons dans une mer de produits chimiques, dont nombreux sont connus pour ĂȘtre cancĂ©rigĂšnes. Depuis les annĂ©es 50, plus de 80 000 nouveaux produits chimiques de synthĂšse sont entrĂ©s dans notre sociĂ©tĂ©, dont nombreux se retrouvent dans l’eau, l’air ou la terre. Moins de 5 % de ces produits ont Ă©tĂ© testĂ©s pour leur sĂ©curitĂ© sanitaire et pratiquement aucun de ces produits n’a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ© pour ces effets synergiques avec d’autres produits chimiques. Nombreuses substances chimiques sont considĂ©rĂ©es comme carcinogĂšnes, ce terme se rĂ©fĂ©rant Ă  une substance qui contribue au processus de formation du cancer ces substances carcinogĂšnes peuvent endommager nos mitochondries, perturber nos hormones, crĂ©er de l’inflammation, du stress oxydatif ou supprimer nos dĂ©fenses immunitaires. En fait, il est estimĂ© que la majoritĂ© des cancers serait en relation avec l’exposition de carcinogĂšnes de notre environnement. On trouve ces substances chimiques partout dans les voitures, les pesticides, les produits de nettoyage, les produits pour le corps, l’eau du robinet, etc. De plus, la plupart des traitements pour traiter le cancer sont eux-mĂȘmes considĂ©rĂ©s comme carcinogĂšnes. Ainsi, neuf produits pour la chimiothĂ©rapie sont reconnus comme des carcinogĂšnes de groupe 1 IARC par exemple le chlorambucil ou le melphalan. On traite donc le cancer avec des produits qui peuvent provoquer le cancer. Certains produits carcinogĂšnes sont Ă©liminĂ©s par nos systĂšmes de dĂ©toxification, toutefois, d’autres substances peuvent persister toute notre vie, souvent stockĂ©es dans nos organes ou nos cellules graisseuses. On les appelle les POPs persistent organic polluants comprenant des mĂ©taux lourds, hydrocarbures, dioxins, certains pesticides, etc. Ces substances chimiques peuvent pĂ©nĂ©trer notre corps par de multiples façons inhalation, absorption cutanĂ©e, ingestion, exposition environnementale, etc.. La plupart des gens comprennent que la fumĂ©e de cigarette ou l’alcool est nĂ©faste pour la santĂ©, mais ne rĂ©alisent pas que la plupart de leurs produits de bains ou cosmĂ©tiques, leurs habits, leurs aliments, leurs tatouages, les boĂźtes en plastiques, les peintures, etc. les exposent Ă  des carcinogĂšnes. DĂšs lors, dĂ©toxifier son organisme est indispensable lors de la prise en charge d’un cancer. Le corps pour cela a de nombreux organes pour mobiliser, neutraliser, transformer et Ă©liminer ces toxines. Ces organes comprennent le foie, les reins, l’intestin, la peau, le microbiote, la vĂ©sicule biliaire et les poumons. Il est important de stimuler et de soutenir ces organes Ă©monctoires afin de neutraliser le maximum de ces produits toxiques. A. Les aliments dĂ©tox La premiĂšre chose pour adopter une alimentation pauvre en toxines est de consommer essentiellement des produits biologiques sans pesticides, bruts non transformĂ©s en faisant attention Ă  la cuisson par exemple cuisson lente pour la viande et Ă  la vapeur pour les lĂ©gumes. Il faut Ă©galement boire suffisamment d’eau, idĂ©alement une eau micro filtrĂ©e en Ă©vitant l’eau de bouteille PCB, bisphĂ©nol A. Certains aliments sont conseillĂ©s pour leur capacitĂ© importante Ă  dĂ©toxifier et il est conseillĂ© d’en consommer en moyenne 2 Ă  3 chaque jour. Voici une liste non exhaustive de ces aliments – La betterave Riche en betalain et bĂ©taĂŻne, elle amĂ©liore l’absorption des graisses par le foie, avec un effet purifiant et antioxydant, source de folate. Dans une diĂšte cĂ©togĂšne, sa consommation doit ĂȘtre trĂšs modĂ©rĂ©e en raison de sa richesse en glucides. Par exemple, 2 c. Ă  soupe de betteraves rĂąpĂ©es dans une salade est une bonne alternative. – La salade de pissenlit Excellent Ă  rajouter Ă  une salade ou Ă  un jus. Le pissenlit est connu de longue date comme tonique hĂ©patique, stimule la sĂ©crĂ©tion de bile. Le pissenlit fait partie des plantes amĂšres connues pour leur effet sur la digestion et la dĂ©toxification. – Le citron bio zeste, jus et peau La peau du citron contient du limonĂšne, un terpĂšne Ă©tudiĂ© pour son activitĂ© anti-cancer. Le limonĂšne stimule les phases I et II du foie. Le zeste est riche en micronutriments et le jus en vitamine C aidant la dĂ©toxification des mĂ©taux lourds. – Les crucifĂšres particuliĂšrement les pousses de brocoli Les crucifĂšres telles que le brocoli, le chou, le chou-fleur sont connues pour leur capacitĂ© Ă  favoriser la dĂ©toxification Ă  plusieurs niveaux. L’indol-3-carbinol est connu pour avoir une action protectrice sur le cancer du sein et le sulforaphane est actif contre diffĂ©rents cancers. Les pousses de brocoli sont toutefois la star. Dans une Ă©tude standardisĂ©e, les personnes qui consommaient un breuvage avec des pousses de brocoli avaient une excrĂ©tion augmentĂ©e de certains carcinogĂšnes acrolein, beuzĂšne. L’apport de pousses de brocoli est conseillĂ© de façon quotidienne. C’est facile Ă  faire Ă  la maison avec un kit pour pousses et graines germĂ©es. – Le chardon-Marie Le chardon-Marie est une plante mĂ©diterranĂ©enne aux nombreux bienfaits pour le foie. Dans l’alimentation, les feuilles et les fleurs sont consommĂ©es comme lĂ©gume pour les salades. L’ingrĂ©dient actif est la silymarine, extrait de ces graines qui a une action rĂ©paratrice envers les cellules du foie endommagĂ©es et permet de protĂ©ger le foie contre les toxines ayant Ă©galement des propriĂ©tĂ©s antioxydantes et anti-inflammatoires. Certains oncologues, en raison de ces effets sur la dĂ©toxification hĂ©patique, craignent des interfĂ©rences avec l’action des chimiothĂ©rapies. Toutefois, de nombreux experts en nutrition oncologique estiment que le chardon-Marie n’augmente pas la clearance des mĂ©dicaments de chimiothĂ©rapie et ne rĂ©duit pas leurs effets 13. Le chardon-Marie aurait mĂȘme la capacitĂ© de rĂ©duire certains effets secondaires des chimiothĂ©rapies, ainsi que la rĂ©sistance aux traitements 14. Le chardon-Marie peut ĂȘtre consommĂ© frais ou en thĂ©. – Les lĂ©gumes riches en chlorophylle La chlorophylle est le pigment vert dans les plantes qui permet d’utiliser la lumiĂšre du soleil comme source d’énergie pour produire des carbohydrates depuis le gaz carbonique et l’air. La chlorophylle a montrĂ©, chez les animaux 15,16, la capacitĂ© d’augmenter l’élimination de divers carcinogĂšnes de notre environnement et de nous protĂ©ger contre les radiations. Les meilleures sources de chlorophylle comprennent les Ă©pinards, le persil et le cresson bio. – L’artichaut L’artichaut contient diverses substances caffeoylquinic acides qui ont la capacitĂ© de rĂ©gĂ©nĂ©rer et de protĂ©ger le foie. Il est Ă©galement riche en polyphĂ©nol rutin, quercetine, etc. pouvant contribuer Ă  prĂ©venir ou comme adjuvant aux traitements de divers cancers 17,18. En raison, de sa faible teneur en glucides, Ă  manger sans modĂ©ration. – Les protĂ©ines animales de haute qualitĂ© Se concentrer sur des sources de protĂ©ines animales de bonne qualitĂ© comme les Ɠufs, le saumon sauvage d’Alaska ou des poudres de protĂ©ines du petit lait whey protĂ©ines de qualitĂ© bio. En effet, les phases de dĂ©toxification hĂ©patique nĂ©cessitent des acides aminĂ©s que l’on trouve de façon Ă©quilibrĂ©e dans des produits animaux. Les Ɠufs sont riches en soufre, un composant essentiel pour la phase 2 de dĂ©toxification du foie, le saumon sauvage est une bonne source de B12 et de sĂ©lĂ©nium nĂ©cessaire Ă  la formation du glutathion et la whey protĂ©ine encourage la production de glutathion, l’antioxydant le plus puissant. B. JeĂ»ne et diĂšte qui mime le jeĂ»ne Le jeĂ»ne est connu pour ĂȘtre un moyen remarquable pour dĂ©toxifier son organisme, rĂ©gĂ©nĂ©rer son systĂšme immunitaire, amĂ©liorer son mĂ©tabolisme, ainsi que de se dĂ©barrasser des cellules inutiles par autophagie. Plus rĂ©cemment, ont Ă©tĂ© mises au point des diĂštes qui miment le jeĂ»ne Prolon. Ainsi, le Prof. Valter Longo de l’institut du vieillissement de l’universitĂ© de CALIFORNIE a montrĂ© qu’une alimentation hypocalorique 1000 cal. max pendant 5 jours de type vĂ©gĂ©tale avait les mĂȘmes effets physiologiques que le jeĂ»ne. Le jeĂ»ne ou la diĂšte qui miment le jeĂ»ne ont un intĂ©rĂȘt lors d’un traitement anticancĂ©reux. En effet, lors d’un jeĂ»ne, les cellules saines ont tendance Ă  activer des mĂ©canismes de protection contre les toxiques extĂ©rieurs, ce qui les rend plus rĂ©sistantes lors d’une chimiothĂ©rapie, alors que les cellules tumorales affamĂ©es par le jeĂ»ne sont plus sensibles Ă  la chimiothĂ©rapie. Ce mĂ©canisme a Ă©tĂ© confirmĂ© sur des modĂšles animaux, puis sur des groupes de malades volontaires chez qui on a pu dĂ©montrer qu’un jeĂ»ne de 48h avant la chimiothĂ©rapie Ă  continuer 24h aprĂšs rend les cellules tumorales plus sensibles et rĂ©duit les effets secondaires 9-12. Une recherche conduite par le Norris Cancer Center de Los Angeles a Ă©galement montrĂ© que le jeĂ»ne pourrait avoir un effet anticancĂ©reux qui pousserait les cellules malades Ă  se suicider. En effet, la tumeur a un mĂ©tabolisme accĂ©lĂ©rĂ© par rapport aux cellules saines et souffre plus lors d’une restriction calorique. Ces notions qui commencent Ă  se confirmer vont encore Ă  l’encontre des concepts classiques des oncologues, dont la prĂ©occupation principale est d’éviter ou de rĂ©duire la perte de poids qui est perçue comme une progression de la maladie. Toutefois, cette perte de poids n’est pas toujours nĂ©faste si elle est la consĂ©quence d’une restriction calorique ou d’un jeĂ»ne dĂ©cidĂ© d’un commun accord entre les oncologues et les nutritionnistes. Dans ce cas, la perte de poids peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e comme un effet positif. A contrario, il n’est pas nĂ©cessaire et mĂȘme nĂ©faste de donner une overdose calorique Ă  son patient pour le faire grossir. C. RĂ©duire son exposition aux produits chimiques Nous avons vu ci-dessus que, dans notre environnement proche, nous sommes exposĂ©s de façon rĂ©pĂ©titive et quotidienne Ă  de nombreux produits toxiques dont certains sont connus comme carcinogĂšnes. Nous ne pouvons pas facilement agir sur les polluants de l’extĂ©rieur, mais au moins nous pouvons rĂ©duire les polluants chez soi auxquels nous sommes confrontĂ©s quotidiennement. Beaucoup de carcinogĂšnes sont capables de passer Ă  travers la peau, donc Ă©viter de mettre des produits contenant des produits chimiques sur la peau, cela comprend les produits de bain, les gels douches, les shampoings, les cosmĂ©tiques, etc.. Sur 113 agents listĂ©s par l’IARC comme carcinogĂšnes, au moins 11 sont couramment utilisĂ©s dans des produits de soin personnel formaldĂ©hyde, benzĂšne, minĂ©ral oĂŻl, glycol, ethyleneoxide, quartz, etc.. D’autre part, les teintures de cheveux sont Ă©galement hautement toxiques. Il semble que mĂȘme les tampons fĂ©minins sont toxiques, si l’on se rĂ©fĂšre Ă  une Ă©tude de l’universitĂ© de la Plata en Argentine qui a trouvĂ© que 85 % des tampons Ă©taient contaminĂ©s avec du glyphosate, herbicide connu pour son risque cancĂ©rigĂšne. Dans l’ensemble, pour les soins du corps, il est fortement conseillĂ© d’utiliser des produits bio de bonne qualitĂ© et pour les teintures des cheveux, il est possible de trouver des coiffeurs utilisant des colorants naturels, non toxiques. Les habits sont Ă©galement concernĂ©s. Beaucoup sont traitĂ©s chimiquement, c’est pourquoi il faut Ă©viter de porter des habits neufs non lavĂ©s prĂ©alablement. Il faut Ă©galement prĂ©fĂ©rer les lessives et adoucissants sans produits chimiques, en raison des risques d’absorption Ă  travers la peau de substances toxiques. Attention Ă©galement Ă  toutes les substances chimiques inhalĂ©es quotidiennement, dont certains sont carcinogĂšnes dioxines, benzĂšne, mercure, tabac, solvants, etc.. Pour cela, Ă©viter les produits de nettoyage chimique, les peintures, les solvants, les parfums, les diffuseurs d’odeurs synthĂ©tiques, les vernis, les pesticides, etc. Des Ă©tudes de la NASA ont montrĂ© que certaines plantes d’intĂ©rieur peuvent Ă©liminer jusqu’à 87 % des toxines de l’air incluant formaldĂ©hyde, benzĂšne, toluĂšne, monoxyde de carbone, etc. Ces plantes peuvent comprendre les orchidĂ©es, les plantes-araignĂ©es, le lierre d’Irlande, le palmier bambou, etc. De plus, il est conseillĂ© de bien aĂ©rer quotidiennement les piĂšces Ă  vivre et Ă©galement un diffuseur d’huiles essentielles peut nettoyer l’air de toxines ou de germes. D. Autres approches complĂ©mentaires Une mĂ©thode puissante pour Ă©liminer les toxines par la transpiration est le sauna. Le sauna est un vrai style de vie dans certains pays comme la Finlande. Le sauna peut rĂ©duire les niveaux de nombreuses toxines comme le bisphĂ©nol A ou les phtalates. Voici un protocole proposĂ© par la Dr Nasha Winters chez ses patients faire un sauna 3 fois par semaine. Avant prendre 100 mg de Niacin B3 sur un estomac vide, puis se brosser Ă  sec au gant de crin pour stimuler le systĂšme lymphatique, puis faire un sauna de 20 Ă  30 minutes maximum. Faire un bain chaud aux sels d’Epsom peut ĂȘtre une alternative plus simple pour stimuler la dĂ©toxification. D’autres approches complĂ©mentaires peuvent consister Ă  faire des irrigations coloniques ou des lavements au cafĂ©. Dr. A. D’oro RĂ©fĂ©rences Hodge AM Consumption of sugar-sweetened and artificially sweetened soft drinks and risk of obesity-related cancers. » Public Health Nutr. 2018 Feb 21 1-9 Vulcan A High blood glucose levels are associated with higher risk of colon cancerin men a cohort study. » BMC Cancer 2017 Dec 12 ;171 842 Onodera Y Increased sugar uptake promotes oncogenesis via EPAC/RAP1 and O-GlcNAc pathways J Clin Jan;1241367-84. Duan W. 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